エトルタの海について

Sur la mer d'Etretat



Jeanne, tenant le bordage d'une main, un peu étourdie par le bercement des vagues, regardait au loin ; et il lui semblait que trois seules choses étaient vraiment belles dans la création : la lumière, l'espace et l'eau.
(Une vie (1883), chapitre III, in Maupassant, Romans, Gallimard, « Bibliothèque de la Pléiade », 1987, p. 26.)

「ジャンヌは片手で船べりにつかまり、波の揺れで幾らかめまいを感じながら、遠くを眺めた。そして彼女には被造物の中でただ三つのものだけが真に美しいものであるように思われた。光と、空間と、そして水。」
(『女の一生』第三章)

 ボートでの小旅行を描いた中の一節。場所はノルマンディーの海岸、今しもエトルタの有名な弓門(波間に迫り出した独特の様子をした岩)が目に映ったところ。
 モーパッサンは幼年時代をノルマンディーで過ごし、エトルタの母の別荘で毎夏のように休暇を過ごした。後年作家として有名になった後には自ら別荘を建て、ギェット荘と名づけている。 (La Guillette)
 終生変わることなく海を愛しつづけ、愛艇ベラミ号でとりわけ南仏・イタリアの海岸へ繰り返し航海に出たことは有名だが、彼の原風景はまさしく、ここエトルタの海岸であったように思われる。ジャンヌの台詞もまさしく作者その人のものであるかのようだ。
 修道院から出たばかりの少女ジャンヌは父、そして将来の夫となるジュリヤンと共に、夜明けからボートで船出する。ジャンヌの視線を通して描かれる光景は、彼女自身の内面の幸福をありありと語っている。

Le soleil montait comme pour considérer de plus haut la vaste mer étendue sous lui ; mais elle eut comme une coquetterie et s'enveloppa d'une brume légère qui la voilait à ses rayons. C'était un brouillard transparent, très bas, doré, qui ne cachait rien, mais rendait les lointains plus doux. L'astre dardait ses flammes, faisait fondre cette nuée brillante ; et, lorsqu'il fut dans toute sa force, la buée s'évapora, disparut ; et la mer, lisse comme une glace, se mit à miroiter dans la lumière.
(Id.)

「昇ってゆく太陽は、まるでもっと高いところから眼下に広がる広大な海を眺めようとするかのようだった。けれども海は媚態を見せるかのように、あわい霧に包まれ、光線から守られていた。それは透明な霞で、とても低く、金色で、何も隠しはしなかったが、遠くを一層優しく見せていた。太陽は炎を放ち、この輝く靄を溶かす。そしてその力を十全に示した時、靄は消え去った。それから海は、鏡のように滑らかに、光の中で輝き始めた。」

 物語の終盤、住み続けた屋敷を売り払ったジャンヌは、ある日知らずに言葉を漏らし、自分にとっての海の存在の大きさを知ることになる。

Mais, un soir, une phrase lui vint inconsciemment qui lui révéla le secret de ses inquiétudes. Elle dit, en s'asseyant, pour dîner : « Oh ! comme j'ai envie de voir la mer ! » (chapitre XIII, Ibid., p. 175.)

「けれど、ある夜、ある文句が無意識の内に口に上って、彼女の不安の隠れた理由を明かした。彼女は夕食時に席に着きながら言ったのだった。「ああ、なんて海が見たいことだろう!」」 (第十三章)

 海は『女の一生』において、そしてモーパッサンの多くの作品において、単に風景に留まらない重要な役割を担っている。それは一個の登場人物であるとさえ言い得るだろう。
 なお、エトルタについてはデビューしたての頃に紹介記事を書いている。ノルマンディー海岸は避暑地として19世紀半ば以降、多くの都会人、そして印象派画家を始めとする芸術家達が訪れるようになっていた。モーパッサンの記事もそうした人達について述べたものであるが、その冒頭の文章は、作家のこの小さな町への愛情をよく示している。

Quand, sur une plage pleine de soleil, la vague rapide roule les fins galets, un bruit charmant, sec comme le déchirement d'une toile, joyeux comme un rire et cadencé, court par toute la longueur de la rive, voltige au bord de l'écume, semble danser, s'arrête une seconde, puis recommence avec chaque retour du flot. Ce petit nom d’Étertat, nerveux et sautillant, sonore et gai, ne semble-t-il pas né de ce bruit de galets roulés par les vagues ?
(« Étretat »(1880), in Chroniques, U.G.E., coll. « 10/18 », 1980, t. I, p. 45.)

「日に溢れた海岸で、急な波が薄い小石を転がす時、布を裂くように乾いていて、笑い声のように陽気で、拍子のよい、魅惑的な音が、岸に沿って駆け巡り、泡の縁を飛び跳ね、踊るかのように見え、一時止まるが、また波が戻ってゆくのに合わせて繰り返す。エトルタというこの可愛い名前は、神経質で、飛び跳ねるようで、よく響くとともに陽気で、波に転がるこの小石の音から生まれたようではないだろうか?」
(「エトルタ」 1880年)

なおモーパッサンと「水」に関しては、清水正和『ゴッホとモーパッサン』皆美社、1993年に詳しい解説がある。





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